UNIVERSITÉS, SNCF, AIR FRANCE: UN COMBAT D’ARRIÈRE-GARDE?

  Serions-nous tombés sur la tête ? Nous ne sommes plus à une ineptie près quand on entend que les étudiants grévistes à Toulouse demande d’obtenir une note de 10/20 pour ne pas être pénalisés au niveau de leurs examens ! Il faut assumer que diable ! Quand on est en grève il est logique que l’on subisse les conséquences du blocage des cours mais il est vrai que de plus en plus, dans le monde actuel, on a tendance à vouloir s’exonérer de ses devoirs et des conséquences qu’engendrent les conduites. Existe-t-il toujours une honnêteté intellectuelle ? Parfois on peut en douter !

  La grève à la SNCF pénalise fortement les travailleurs qui doivent se déplacer pour rejoindre le lieu de leur activité et cela est dû essentiellement aux conducteurs de train puisque le pourcentage des grévistes ne se situe aujourd’hui qu’aux alentours de 18%, cela signifiant qu’une minorité agissante peut paralyser la totalité d’une organisation ce qui est tout simplement inacceptable. Il est vrai que ces conducteurs ont un statut particulièrement avantageux, héritage de leurs prédécesseurs confrontés au maniement de la pelle et du charbon !

  Parallèlement aux conducteurs du réseau ferroviaire, on découvre que les pilotes d’Air France, qui sont pourtant les mieux rémunérés du monde de l’aviation, demande une augmentation de 6% de leur rémunération…. A croire que plus le salaire est confortable plus les exigences sont exacerbées, très souvent teintées d’égoïsme et d’étroitesse d’esprit. Ce qui est surprenant c’est l’inconscience dans laquelle baigne ces salariés en grève mettant en péril leur propre emploi….

  Il n’y a pas d’inquiétude à avoir quant à l’ouverture à la concurrence dans la mesure où l’entreprise est performante et sait s’adapter aux exigences de la clientèle. Cette dernière devrait d’ailleurs bénéficier d’un meilleur rapport qualité-prix dans les prestations dispensées grâce, justement, à cette concurrence et au libre choix !

  Emmanuel Macron veut faire ce qu’aucun président de la république précèdent n’a pas eu le courage d’entreprendre, à savoir une réforme profonde dans de nombreux domaines qui méritaient d’être dépoussiérés et permettre ainsi à notre pays d’être compétitif sur la scène internationale.

  Les grèves actuelles sont avant tout politique et la CGT, qui se trouve aux avant-postes des revendications, n’a rien à proposer en remplacement du système économique mondial qu’il veut toujours combattre ! Quand on entend les discours de Monsieur Martinez on prend bien conscience que cet homme agit avec beaucoup de légèreté, prêt à détruire en proposant des solutions démagogiques qui ne trompent personne sinon lui-même !

  Malgré les désagréments causés par les mouvements sociaux actuels il est plus que jamais nécessaire de s’opposer à tous ceux qui n’ont pas encore compris que plus l’attente est longue quant aux nécessaires réformes à entreprendre, plus notre pays aura du mal à s’intégrer positivement   dans le concert économique international.

   La compétition qui se profile à l’horizon s’avère redoutable et les nations qui n’auront pas su s’adapter aux exigences du monde moderne ne pourront que constater les dégâts…. Espérons que la France saura s’extirper de son statisme et de son opposition traditionnelle aux réformes pour repartir avec dynamisme dans le lot des pays qui ont su anticiper pour éviter d’amères déconvenues !

Periotac

LA GRÉVE: POUR QUI? POURQUOI?

Serions-nous tombés sur la tête ? Nous ne sommes plus à une ineptie près quand on entend que les étudiants grévistes à Toulouse demande d’obtenir une note de 10/20 pour ne pas être pénalisés au niveau de leurs examens ! Il faut assumer que diable ! Quand on est en grève il est logique que l’on subisse les conséquences du blocage des cours mais il est vrai que de plus en plus, dans le monde actuel, on a tendance à vouloir s’exonérer de ses devoirs et des conséquences qu’engendrent les conduites. Existe-t-il toujours une honnêteté intellectuelle ? Parfois on peut en douter !

La grève à la SNCF pénalise fortement les travailleurs qui doivent se déplacer pour rejoindre le lieu de leur activité et cela est dû essentiellement aux conducteurs de train puisque le pourcentage des grévistes ne se situe qu’aux alentours de 35%, cela signifiant qu’une minorité agissante peut paralyser la totalité d’une organisation ce qui est tout simplement inacceptable. Il est vrai que ces conducteurs sont ceux qui ont le plus à perdre de par leur statut particulièrement avantageux et qui n’a plus lieu d’être de par leurs conditions de travail qui n’a plus rien à voir avec leurs prédécesseurs confrontés au maniement de la pelle et du charbon !

Quand il ne s’agit pas de conducteurs du réseau ferroviaire, on découvre que les pilotes d’Air France, qui sont pourtant les mieux rémunérés du monde de l’aviation, demande une augmentation de 6% de leur rémunération…. A croire que plus le salaire est confortable plus les exigences sont exacerbées très souvent teintées d’égoïsme et d’étroitesse d’esprit. Ce qui est surprenant c’est l’inconscience dans laquelle baigne ces salariés en grève qui mettent en péril leur propre emploi….

Il n’y a pas d’inquiétude à avoir quant à l’ouverture à la concurrence dans la mesure où l’entreprise est performante et sait s’adapter aux exigences de la clientèle. Cette dernière devrait d’ailleurs bénéficier d’un meilleur rapport qualité-prix dans les prestations dispensées grâce, justement, à cette concurrence et au libre choix !

Emmanuel Macron veut faire ce qu’aucun président de la république précèdent n’a pas eu le courage d’entreprendre, à savoir une réforme profonde dans de nombreux domaines qui méritaient d’être dépoussiérés et permettre ainsi à notre pays d’être compétitif sur la scène internationale.

Les grèves actuelles sont avant tout politique et la CGT, qui se trouve aux avant-postes des revendications, n’a rien à proposer en remplacement du système économique mondial qu’il veut toujours combattre ! Quand on entend les discours de Monsieur Martinez on prend bien conscience que cet homme agit avec beaucoup de légèreté, prêt à détruire en proposant des solutions démagogiques dont personne n’est dupe !

Malgré les désagréments causés par les mouvements sociaux actuels il est plus que jamais nécessaire de s’opposer à tous ceux qui n’ont pas encore compris que plus l’attente est longue quant aux nécessaires réformes à entreprendre plus notre pays aura du mal à s’intégrer positivement   dans le concert économique international.

 La compétition qui se profile à l’horizon s’avère redoutable et les nations qui n’auront pas su s’adapter aux exigences du monde moderne ne pourront que constater les dégâts…. Espérons que la France saura s’extirper de son statisme et de son opposition traditionnelle aux réformes pour repartir avec dynamisme dans le lot des pays qui ont su anticiper pour éviter d’amères déconvenues !

Periotac